Le temps à l'oeuvre

Publié le par arts-psychomagiques-nathalie-noelle-rimlinger

Ce travail est le préambule d'une recherche sur le temps de l'art.

Il s'appuie sur :

- un travail réalisé par Tristan LABOURET pour le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, saison 2016-2017.

- des observations faites à partir de ma quête artistique à travers la sculpture. Quête ouverte, sans autre but que la création spontanée, intuitive et esthétique sur une période donnée (2016-2017). http://galerierimlinger.overblog.com/2017/01/le-temps-a-l-oeuvre.html

Au moment où je me décidais à mettre en ordre des réflexions issues de mon travail plastique, j'assistai (le 19 janvier, 19h), au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, à une remarquable présentation de "La nuit transfigurée", oeuvre de Arnold Schoenberg, inspirée par le poème de Richard Dehmel, par Tristan Labouret, dans le cadre d'un concert-lecture des Départements musicologie et analyse, et des disciplines instrumentales classiques et contemporaines.

Voyons ici le livret qui nous fut remis :

La nuit transfigurée, Tristan Labouret - CNSM, 19/01/2017
La nuit transfigurée, Tristan Labouret - CNSM, 19/01/2017
La nuit transfigurée, Tristan Labouret - CNSM, 19/01/2017
La nuit transfigurée, Tristan Labouret - CNSM, 19/01/2017
La nuit transfigurée, Tristan Labouret - CNSM, 19/01/2017
La nuit transfigurée, Tristan Labouret - CNSM, 19/01/2017
La nuit transfigurée, Tristan Labouret - CNSM, 19/01/2017

La nuit transfigurée, Tristan Labouret - CNSM, 19/01/2017

Au fil de ce concert-lecture, Tristan Labouret se proposait d'éclairer le mystère de cette création par une enquête qu'il avait menée autour de l'oeuvre et du poème. Il y abordait quatre points et nous entendîmes une fois l'oeuvre selon un découpage propre à illustrer ces points, une autre fois dans son intégralité. (Ces points étaient, mais je m'en souviens mal, la biographie de l'auteur, l'influence du poème, l'influence de l'époque, le poème comme prétexte à une création libre de Schoenberg, traversée par les trois points précédents. 

C'est le lendemain matin, qu'au réveil, mes propres réflexions sur mon travail se cristallisèrent sur l'oeuvre musicale, soulevant un pan ésotérique que je n'avais pas moi-même considéré, ni Tristan Labouret dans son enquête sur La nuit transfigurée, et qui s'articulait à la fois avec l'oeuvre musicale et mon travail artistique.

Je décidai de joindre ce matin-même, le musicien, pour lui proposer ma version et lui demander de collaborer à une présentation vidéo de ma recherche sur le temps à l'oeuvre dans l'oeuvre.

Publié dans art-et-ésotérisme

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